Accueil > Sondages
Enquêtes 2020 – Quels regards sur la protection sociale
à l’heure de la pandémie de Covid-19 ?
Enquêtes du Cercle de l’Épargne, AG2R LA MONDIALE ET AMPHITÉA
Consulter la plaquette de présentation des études
Consulter le communiqué de presse
Consulter tous les résultats de l’enquête du CERCLE DE L’ÉPARGNE
Alors que la pandémie se poursuit, quelle est la vision des Français et des entreprises sur les questions relatives à la retraite et à sa réforme, sur leur épargne, sur les préoccupations liées à la dépendance ou encore sur les dispositifs en prévoyance-santé ? Comment réagissent les sociétés et les travailleurs non-salariés (TNS) face à l’imprévisibilité de l’avenir ?
Afin de répondre à ces interrogations, deux études ont été réalisées pour AG2R LA MONDIALE, LE CERCLE DE L’ÉPARGNE et AMPHITÉA par l’Institut français d’opinion publique (Ifop), d’une part auprès des Français et d’autre part auprès des entreprises et des TNS, avec les éclairages respectifs de Jérôme Jaffré, Directeur du Centre d’études et de connaissances de l’opinion publique (Cecop), et d’Alain Mergier, consultant en sociologie.
Ces deux enquêtes soulignent l’importance qu’accordent les Français à la protection sociale. Si cette crise sanitaire a accentué l’attention qu’ils portent à leur protection et celle de leur famille, au mieux-vivre ensemble et au bien-vieillir, elle a également montré que les entreprises sont déstabilisées par cette crise exceptionnelle qui s’installe dans le temps créant par la même des incertitudes grandissantes. Elles voient ainsi la protection sociale sous un angle nouveau et cherchent à lui accorder une place plus importante en particulier dans leurs politiques de ressources humaines.
Principaux chiffres clés
Grand public
Entreprises et TNS
|
Face à la pandémie, les Français expriment de nouveaux besoins de protection sociale et patrimoniale
Méthodologie de l’enquête menée pour AG2R LA MONDIALE, LE CERCLE DE L’ÉPARGNE et AMPHITÉA : l’enquête a été réalisée sur internet les 8 et 9 septembre 2020 auprès d’un échantillon de 1 003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué d’après la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Le terrain d’enquête a été confié à l’Ifop.
À l’issue de la crise sanitaire de ce printemps, 22% des Français interrogés affirment avoir épargné « plus que d’habitude » et cette réponse atteint son maximum chez les 18-24 ans (39%). Toutefois, près de 20 % des répondants se perçoivent comme victimes économiques de cette pandémie en déclarant avoir dû épargner « moins que d’habitude ». Quelles ont été leurs motivations pour épargner durant cette période ? La principale raison évoquée est qu’ils n’avaient « pas envie de consommer » (38 % des réponses) suivie de près par la crainte de tomber malade (13 %) et de perdre son emploi (12 %).
Concernant l’utilisation de leur épargne, les Français (41%) mettent en avant l’intention de la conserver afin qu’elle soit mobilisable à tout moment. Maintenir ou même augmenter son effort d’épargne arrive en deuxième position (35%) tandis qu’utiliser tout ou partie de son épargne pour faire des achats n’arrive qu’en troisième position (21%). Il est important de préciser que 40% des moins de 35 ans souhaitent maintenir voire augmenter leur effort d’épargne (contre 27 % en moyenne au sein de la population), signe que la crise du coronavirus est susceptible d’impacter fortement les stratégies financières des jeunes générations.
Le palmarès des placements les plus intéressants ne change pas depuis le début de la pandémie mais indique néanmoins une préférence accrue pour la liquidité. L’immobilier locatif continue de faire la course en tête : 61% des Français jugent ce placement intéressant (stable depuis février 2020), devançant comme en février l’assurance-vie (48% ; en baisse de 3 points) et le placement « actions » (37% ; en recul – 8 points, quand le Livret A en gagne 14). Les comptes courants sont jugés intéressants par 30 % des Français malgré l’absence de rémunération.
La pandémie et ses conséquences économiques créent-elles des inquiétudes sur le fait et/ou la perspective de disposer à sa retraite d’une pension suffisante pour vivre correctement ? Près de 44% des retraités interrogés estiment disposer d’une pension de retraite suffisante pour vivre correctement alors que 72% des non retraités craignent le contraire. Plusieurs mois après le déclenchement de cette crise qui a mis en sommeil le projet de réforme des retraites, seuls 19 % des Français souhaitent que le texte soit repris pour être mis en œuvre en totalité tandis que 31% d’entre eux se déclarent favorables à un projet rectifié maintenant la mise en place du régime par points et écartant l’âge pivot à 64 ans.
Dans le contexte actuel, la question de la dépendance des personnes âgées préoccupe 53% des Français. Ce taux atteint 70 % chez les plus de 70 ans contre 57 % des 60-69 ans et 48 % des moins de 60 ans. 70 % des personnes interrogées affirment être favorables à la mise en place d’un contrat dépendance qui devrait pouvoir être facultatif pour 53% d’entre eux.
Quand l’imprévisibilité de l’activité renforce l’importance de la protection individuelle des entreprises et des TNS
Méthodologie de l’étude conduite pour AG2R LA MONDIALE, LE CERCLE DE L’ÉPARGNE et AMPHITÉA : l’étude a été réalisée par téléphone du 15 septembre au 5 octobre 2020 auprès d’un échantillon de 400 individus (100 TNS, 100 patrons TPE, 100 directeurs administratifs, directeurs financiers, DRH de PME, et 100 de ETI). Après redressement, selon les critères de taille, activité et région, l’échantillon d’ensemble est représentatif de la cible BtoB. Le terrain d’enquête a été confié à l’Ifop.
Aujourd’hui, 60% des entreprises et des TNS interrogés se déclarent plus inquiets qu’avant quant à l’imprévisibilité de l’avenir économique de leur activité professionnelle désormais exposée à trois familles de risques :
À cette vulnérabilité économique s’ajoute celle de la protection sociale. En effet, de manière générale, l’avenir du système de protection sociale apparait imprévisible car les paramètres changent trop souvent pour 78% des entreprises et des TNS. Par ailleurs, le régime de retraite actuel est perçu comme non pérenne par 76% et complexe par 83% des répondants, obstruant ainsi la lisibilité de leur pension de retraite tout en renforçant la nécessité de disposer d’une protection individuelle. À noter que si 71% des entreprises sont favorables à la mise en œuvre de la réforme des retraites, avec pour 40% une préférence pour l’abandon de l’âge pivot, près de 6 individus sur 10 craignent de ne pas avoir une pension de retraite suffisante. Si ce taux tend à s’accroître à mesure que diminue la taille de l’entreprise (58% pour les TNS contre 46% pour les ETI), les individus de 35-49 ans sont les plus inquiets (64%), suivis par les femmes (60%) et les jeunes de moins de 35 ans (59%).
Afin de faire face à la complexité du système de retraite, les comportements diffèrent selon la taille de l’entreprise. Ainsi, les TNS ont un processus de délégation : 79% s’adressent à leur expert-comptable. Les dirigeants de très petites entreprises (TPE) se réfèrent aussi à leur comptable (43%) mais font par ailleurs des recherches sur Internet (40%). Les petites et moyennes entreprises (PME) et les ETI s’appuient sur l’expertise du directeur administratif, financier ou des ressources humaines pour faire des recherches sur Internet (56% des PME, 64% des ETI) et se référer aux textes officiels (57% des PME, 52% des ETI). Dans l’ensemble l’assureur est un interlocuteur privilégié pour 54% des TNS et des entreprises.
Face à ces inquiétudes, 41% des sondés attachent aujourd’hui plus d’importance aux contrats qui sécurisent leur avenir : prévoyance, dépendance et retraite supplémentaire. Ainsi, 93% des personnes interrogées déclarent posséder une complémentaire santé, 81% un contrat de prévoyance et 54% un contrat de retraite supplémentaire. La possession d’un contrat de retraite supplémentaire s’accroit pour les individus qui craignent que leur pension de retraite soit insuffisante (59%), qui sont très inquiets de la pérennité du système de retraite (61%) et pour les TNS (60%).
En complément, 54% des entreprises et des TNS se disent favorables à la mise en place d’un contrat de dépendance, de préférence facultatif pour 43% d’entre eux.
La prévoyance apparaît pour les entreprises comme un facteur différenciant de leurs politiques RH. En effet, pour attirer et conserver les meilleurs salariés, 83% des entreprises considèrent qu’une complémentaire santé offrant des remboursements santé élevés et des services correspondants aux attentes des collaborateurs est un argument important. De plus, selon 81% d’entre elles, un contrat de prévoyance permettant à leurs collaborateurs et leurs familles d’être bien protégés en cas de coup dur est un facteur déterminant tout comme le fait de proposer aux salariés un supplément de revenus à la retraite (69%). Sur ce dernier point, ils sont cependant 57% à considérer que les salariés préfèrent se constituer ce complément de revenus individuellement.
Face à l’imprévisibilité de leur activité à laquelle s’ajoute celle de la protection sociale, les entreprises et les TNS sont 81% à être rassurés par la pérennité de l’assureur, qui se conjugue pour 58% des répondants à la stabilité qu’apporte sa forme juridique de société de personnes (mutuelle).
À propos du CERCLE DE L’ÉPARGNE :
LE CERCLE DE L’ÉPARGNE est un think tank dédié à l’épargne, la retraite et à la prévoyance. LE CERCLE DE L’ÉPARGNE étudie les évolutions de la législation concernant l’épargne, la retraite et la prévoyance. Il analyse, les besoins et les attentes des Français en la matière.
Pour réaliser ses missions, LE CERCLE DE L’ÉPARGNE s’appuie sur l’expertise de son conseil scientifique constitué de membres reconnus pour leurs compétences dans les domaines économiques, sociologiques, démographiques. Les experts du Cercle travaillent, ensemble, sur les sujets de l’épargne et de la retraite. Le croisement des approches constitue la marque de fabrique du Cercle qui place au cœur de sa mission la pédagogie.
Les statuts reconnaissent l’indépendance du Conseil scientifique.
À propos d’AMPHITÉA :
Créée le 17 décembre 1974, AMPHITÉA est une association de Loi 1901 chargée du dialogue entre les sociétés membres d’AG2R LA MONDIALE et ses assurés. Au nom et au profit de ses Adhérents, AMPHITÉA est donc une association d’assurés, dont les objectifs sont de :
– négocier, souscrire et faire évoluer auprès de son partenaire assureur les meilleurs contrats de santé, prévoyance, épargne et retraite ;
– communiquer, former et informer sur toutes les thématiques liées à la protection sociale et la protection patrimoniale, auprès de ses Adhérents actuels et à venir ;
– développer entre ses membres un esprit de solidarité et d’entraide, fidèle aux valeurs mutualistes et paritaires de son partenaire assureur.
Avec près de 450 000 Adhérents, AMPHITÉA s’inscrit aujourd’hui parmi les plus grandes associations d’assurés de France.
Toutes les informations : www.amphitea.com
À propos d’AG2R LA MONDIALE :
Spécialiste de la protection sociale et patrimoniale en France, AG2R LA MONDIALE assure les particuliers, les entreprises et les branches, pour protéger la santé, sécuriser le patrimoine et les revenus, prémunir contre les accidents de la vie et préparer la retraite. Société de personnes à gouvernance paritaire et mutualiste, AG2R LA MONDIALE cultive un modèle de protection sociale unique qui conjugue étroitement rentabilité et solidarité, performance et engagement social. Le Groupe consacre chaque année plusieurs millions d’euros pour aider les personnes fragilisées et soutenir des initiatives individuelles et collectives.
Suivez l’actualité : www.ag2rlamondiale.fr / @AG2RLAMONDIALE
Contacts presse :
LE CERCLE DE L’ÉPARGNE : Charles Citroën
01 76 60 85 39 / 06 75 85 50 44 – ccitroen@cercledelepargne.fr
AMPHITÉA : Christelle Douche
01 71 24 02 65 / 06 78 87 78 15 – christelle.douche@amphitea.com
AG2R LA MONDIALE : Mélissa Bourguignon
01 76 60 90 30 / 06 04 52 18 63 – melissa.bourguignon@ag2rlamondiale.fr
La plaquette de présentation de l’Enquête 2019
Les tableaux de la conférence de presse
Le Communiqué de presse du Cercle de l’Épargne et d’Amphitéa en PDF
Le Communiqué de presse du Cercle de l’Épargne et d’Amphitéa au format Word
Les résultats complets de l’Enquête 2019
****
***
Près de la moitié des sondés sont pour la mise en place d’un régime universel qui prendrait en compte certaines particularités. Ainsi, 48 % des Français se prononcent en faveur d’un régime universel intégrant certaines spécificités (pénibilité, missions de nuit ou dangereuses, etc.). 34 % des Français sont pour l’application d’un régime universel total visant à traiter tous les assurés de manière identique. En revanche, seuls 18 % des sondés sont pour le statu quo.
Les retraités, les fonctionnaires et les salariés des entreprises publiques craignant figurer parmi les perdants de la réforme en cas d’unification totale, sont les plus enclins au statu quo. Les fonctionnaires et les salariés des entreprises publiques ne sont respectivement que 21 et 25 % à souhaiter l’avènement d’un régime universel « pur ».
Seuls 34 % des Français considèrent que le futur système de retraite respectera l’engagement présidentiel, « un euro cotisé donnera les mêmes droits pour tous ». En revanche, ils sont 37 % à penser que les pouvoirs publics veulent profiter de cette réforme pour reculer l’âge effectif de départ à la retraite. Ce jugement est partagé par 52 % des fonctionnaires. Par ailleurs, 29 % des Français estiment que l’objectif de la réforme est la réduction des pensions.
62 % des Français veulent que les partenaires sociaux restent aux commandes du système de retraite contre 38 % qui préfèrent que ce soit l’État. Le modèle paritaire institué après la Libération est donc privilégié à l’étatisation. Cette appréciation n’est pas sans lien avec le sentiment de défiance qui traverse le pays vis-à-vis des institutions.
Si seulement 12 % des Français sont favorables à l’instauration d’un système reposant exclusivement sur la capitalisation, 45 % souhaitent la mise en place d’un système mixte combinant répartition et capitalisation. Cette solution est portée par les jeunes, les indépendants et les cadres. A contrario, 43 % des sondés veulent maintenir un système fonctionnant exclusivement sur la répartition. Les Français aux revenus modestes et les ouvriers soutiennent majoritairement cette option.
Le Président de la République s’est engagé à maintenir l’âge de départ à la retraite à 62 ans et le Haut-commissaire à la réforme des retraites a indiqué que des dispositifs de départ anticipés pourraient être conservés dans le futur régime universel. Ces promesses reçoivent très nettement l’approbation des sondés.
79 % des Français considèrent qu’il faut maintenir la retraite à 62 ans voire revenir à 60 ans. 41 % des Français pensent qu’il est possible de revenir à la retraite à 60 ans. Ce sentiment est partagé par 59 % des employés et 57 % des ouvriers. 59 % des actifs âgés de 35 à 49 ans pensent de même. Seuls 21 % des sondés estiment qu’il est nécessaire de faire évoluer l’âge légal progressivement vers 65 ans. Ce report n’est accepté que par les actifs qui traditionnellement partent déjà au-delà de 62 ans à la retraite (les cadres, les indépendants, les professions libérales).
En 2019, 31 % des Français pensent que leurs pensions sont ou seront suffisantes pour vivre correctement contre 26 % en 2018. 50 % des retraités pensent ainsi, cette année, contre seulement 39 % en 2018.
L’année dernière, la hausse de la Contribution Sociale Généralisée (CSG) avait entraîné une forte dégradation de ce solde. Les mesures annoncées au mois de décembre et la décélération de l’inflation ont sans nul doute contribué au léger regain d’optimisme en ce qui concerne le pouvoir d’achat actuel ou à venir des retraités.
En 2019, les Français sont plus nombreux qu’en 2018 à déclarer épargner en vue de la retraite, 57 % contre 55 %. Il convient de souligner que plus de la moitié des retraités (51 %) continuent d’épargner pour améliorer leur retraite. Les débats sur le niveau de vie des retraités et l’élaboration de la future réforme des retraites, avec son caractère anxiogène, incitent à l’augmentation de l’effort d’épargne.
41 % des retraités indiquent financer leurs dépenses en recourant tout à la fois à leurs pensions et à l’épargne constituée. 29 % déclarent ne pas toucher à leur patrimoine et 30 % indiquent vivre sur leurs seules pensions faute d’épargne accumulée. Le refus de toucher à son épargne est assez indépendant du niveau de revenu : 45 % parmi les bas revenus ayant accumulé de l’épargne et 42 % parmi les hauts revenus sont dans ce cas. Parmi les patrimoines élevés, le pourcentage atteint même 51 %.
Quelles sont les principales motivations des épargnants ? Les Français mettent de l’argent de côté avant tout par précaution (40 % des sondés) et pour la préparation de la retraite (31 %).
Pour les 18-24 ans, l’achat d’un logement constitue le deuxième objectif d’épargne (31 %) derrière la poche de précaution (45 %). 24 % des retraités déclarent épargner pour leur retraite. Il est à souligner que seulement 14 % des sondés déclarent n’avoir pas les moyens d’épargner.
La baisse des taux de rendement et le petit regain d’inflation auraient pu conduire les Français à bouder les placements financiers. Or, tel n’est pas le cas, bien au contraire, leur intérêt pour l’épargne est en hausse tout comme la collecte.
La remontée la plus spectaculaire concerne l’assurance vie, produit jugé intéressant par 58 % des interviewés (+7 points en un an). Cette progression est accentuée chez les épargnants (+9 points, à 71 %).
Malgré la baisse du CAC 40, en 2018, les actions sont jugées intéressantes par 40 % des Français, soit 11 points de mieux qu’en 2016. Le Livret A, bien que mal classé, gagne deux points.
La dépendance constitue un sujet d’inquiétude récurrent pour les Français. Le récent rapport de Dominique Libault « Grand âge et autonomie » privilégie un financement par l’impôt (contribution à la réduction de la dette sociale – CRDS – notamment) et semble récuser la voie assurantielle. Si une majorité relative des sondés considère que la dépendance relève de la solidarité, l’option de l’assurance obligatoire, au moment du départ à la retraite, reçoit l’assentiment de 37 % des sondés. Ce taux est de plus de 44 % chez les 65 ans et plus. Les seniors ont conscience que face au risque de dépendance, la logique de l’assurance constitue une solution à envisager. Ce sentiment est plus prégnant chez les Français dont les revenus mensuels dépassent 4 000 € ou chez les travailleurs non-salariés.
L’enquête 2019 du Cercle de l’Épargne et d’AMPHITÉA souligne les points suivants :
* À la demande du Cercle de l’Épargne et d’Amphitéa, le Centre d’études et de connaissances sur l’opinion publique (CECOP) a conduit une étude sur les Français, la retraite et l’épargne. L’enquête a été réalisée sur internet du 6 au 11 février 2019 auprès d’un échantillon de 1 003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué d’après la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Le terrain d’enquête a été confié à l’IFOP.
Tous les résultats de l’enquête sont sur le site du Cercle : www.cercledelepargne.com
À propos du Cercle de l’Épargne
Centre d’études et d’information indépendant partenaire d’AG2R LA MONDIALE MATMUT, le Cercle de l’Épargne est présidé par Jean-Pierre Thomas. Il mène des études à dimension économique et sociale et des actions de formation pour comprendre les grands enjeux de la protection sociale.
Animé par Philippe Crevel, le Cercle de l’Épargne bénéficie, pour réaliser ses travaux, de l’appui d’un Conseil scientifique composé de Robert Baconnier, ancien Directeur général des impôts et ancien Président de l’Association Nationale des Sociétés par Actions, Jacques Barthélémy, avocat-conseil en droit social et ancien professeur associé à la faculté de droit de Montpellier, Philippe Brossard, chef économiste d’AG2R LA MONDIALE MATMUT, Marie-Claire Carrère-Gée, Présidente du Conseil d’Orientation pour l’Emploi (COE), Jean-Marie Colombani, ancien Directeur du Monde et fondateur de Slate.fr, Jean-Paul Fitoussi, professeur des universités à l’IEP de Paris, Jean-Pierre Gaillard, journaliste et chroniqueur boursier, Philippe Georges, Inspecteur général honoraire des affaires sociales, Président du conseil d’administration de la Caisse autonome nationale de la Sécurité sociale dans les mines (CANSSM), Christian Gollier, Directeur de la Fondation Jean-Jacques Laffont – Toulouse Sciences Économiques, membre du Laboratoire d’Économie des Ressources Naturelles (LERNA) et Directeur de recherche à l’Institut d’Économie Industrielle (IDEI) à Toulouse, Serge Guérin, Sociologue, Directeur du MSc « Directeur des établissements de santé », Inseec Paris, François Héran, Professeur au Collège de France, Ancien Directeur de l’INED, Jérôme Jaffré, Directeur du Centre d’Études et de Connaissances sur l’Opinion (CECOP), Florence Legros, Directrice Générale de l’ICN Business School, Jean-Marie Spaeth, Président honoraire de la CNAMTS et de l’EN3S et Jean-Pierre Thomas, ancien député et Président de Thomas Vendôme Investment.
À propos d’AMPHITÉA
Au nom et au profit de ses adhérents, AMPHITÉA est une association d’assurés dont les objectifs sont de négocier, souscrire et faire évoluer auprès d’AG2R LA MONDIALE MATMUT les meilleurs contrats de santé, prévoyance, épargne et retraite. Elle vise également à communiquer et informer ses adhérents actuels et ceux à venir sur toutes les thématiques liées à la protection sociale et la protection patrimoniale.
Avec près de 450 000 adhérents, elle s’inscrit aujourd’hui parmi les plus grandes associations d’assurés de France. AMPHITÉA s’appuie également sur un réseau de plus de 100 correspondants régionaux, présents en métropole et en outre-mer, qui représente une force de proposition et de dialogue avec son partenaire assureur.
Contacts presse :
Sarah Le Gouez
06 13 90 75 48 |
Philippe Crevel 06 03 84 70 36 |
La plaquette de présentation de l’Enquête 2018
Les tableaux de la conférence de presse
Le Communiqué de presse du Cercle de l’Épargne et d’Amphitéa
L’infographie de l’Enquête en version Word
L’infographie de l’Enquête version PDF
La plaquette de présentation de l’Enquête 2017
Les tableaux de la conférence de presse
Le Communiqué de presse du Cercle de l’Épargne et d’Amphitéa en version Word
Le Communiqué de presse du Cercle de l’Épargne et d’Amphitéa en version PDF
L’infographie de l’Enquête en version Word
L’infographie de l’Enquête en version PDF
Les résultats complets de l’Enquête
Le Cercle de l’Epargne a présenté l’édition 2016 de son enquête annuelle sur « les Français, la retraite et l’épargne », le 1er juin 2016.
Cette présentation a été réalisée par Jérôme Jaffré, directeur du CECOP, membre du Conseil scientifique du Cercle de l’Epargne et par Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’Epargne en présence d’André Renaudin, directeur général d’AG2R LA MONDIALE.
Épargne, retraite, dépendance,
Les Français à la recherche de la quadrature du Cercle
2015
Le Cercle de l’Epargne avec le concours du CECOP dirigé par Jérôme Jaffré et de l’IFOP et en relation avec son partenaire, AG2R LA MONDIALE a rendu public son enquête annuelle sur l’épargne et la retraite. Cette enquête s’incrit dans les activités de l’Observatoire de l’Epargne et de la Retraite.
Il peut être fait mention publiquement des résultats de l’enquête sous réserve de mentionner les sources : enquête du Cercle de l’Epargne – AG2R LA MONDIALE
Le Cercle des Epargnants a publié le 11 février sa 12ème enquête sur les Français, l’épargne et la retraite. Cette enquête est réalisée avec le concours de Jérôme Jaffré (CECOP) et de l’institut CSA.
L’enquête 2014 fait le point sur le sentiment des Français face à la retraite après l’adoption de la réforme de 2013. par ailleurs, ce sondage analyse le comportement des Français en matière d’épargne et leur attitudes face aux différents produits : PERP, assurance-vie, PEA, Livret A…
Depuis 2005, le Cercle des Epargnants réalise au moins une fois par an une étude sur le comportement et les attitudes des Français face à l’épargne et à la retraite. L’enquête 2013 aborde deux thèmes d’actualité, les solutions pour assurer la pérennité du système des retraites et les modifications du régime fiscal de l’épargne. Après la publication du rapport du Conseil d’Orientation des Retraites, il nous est apparu important de tester plusieurs mesures qui pourraient être éventuellement mises en oeuvre pour réduire le déficit des régimes de retraite. De même, la publication du rapport sur l’épargne longue de Karine Berger et de Dominique Lefebvre pose la question de l’aménagement du régime fiscal de l’épargne ainsi que de son allocation entre les différents types de placements.
Consulter le communiqué de presse
Consulter les résultats complets de l’enquête
Le Cercle des Epargnants a présenté sa dixième enquête, « Les Français, l’épargne et la retraite » le 15 février 2012.
Ce sondage aborde les points suivants :
Les résultats détaillés de l’enquête 2012
Les points marquants de l’enquête « 2012 » du Cercle des Epargnants :
L’étude porte sur quatre grands thèmes :
le Cercle des Epargnants a présenté sa huitième étude, les Français et la Retraite »réalisée par CSA et le CECOP dans le cadre d’une conférence de presse le 18 mai 2010.
Consulter les résultats détaillés de l’étude
Le Cercle des Epargnants a présenté le 10 mars 2009 au Pavillon Elysée Lenôtre sa septième étude « les Français et la Retraite »
la note de Jérôme Jaffré
le communiqué de presse en pdf
les tableaux d’ensemble
contact@cercledelepargne.com