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Les cadres, l’épargne et la retraite sous l’ère COVID

La France comptait, en 2019, 5,2 millions de « cadres ou professions intellectuelles supérieures », soit 19 % des personnes en emploi au sens du Bureau international du travail (BIT). À travers cet item générique, sont réunies six catégories professionnelles distinctes (professions libérales, professeurs et professions scientifiques, cadres de la fonction publique, professions de l’information, des arts et des spectacles, cadres administratifs et commerciaux d’entreprise ainsi que des ingénieurs et cadres techniques d’entreprise), dans lesquelles se côtoient travailleurs non-salariés, fonctionnaires et salariés du secteur privé. Les cadres ou professions intellectuelles supérieures ont néanmoins pour dénominateur commun, un niveau de qualification élevé (87 % étant diplômés de l’enseignement supérieur contre 43 % pour l’ensemble des personnes en emploi) et, corollaire logique, un niveau de vie supérieur aux autres grandes catégories socioprofessionnelles. Selon l’INSEE, le niveau médian des cadres et des actifs exerçant une activité intellectuelle supérieure était, en 2018, de 33 850 euros contre 23 040 euros pour l’ensemble des actifs ayant déjà travaillé.

Cercle de l’Épargne/Amphitéa/AG2R LA MONDIALE/CECOP/IFOP

Au sommaire de l’étude

  • Les cadres ont épargné depuis le début de la crise sanitaire car ils ont moins consommé          
  • L’épargne COVID, une épargne subie ou une épargne choisie ?
  • Épargne Covid, les français unanimes pour rester fourmis    
  • Les cadres ont également privilégié l’épargne liquide 
  • Les cadres regardent avec intérêt les actions 
  • La retraite, un enjeu prioritaire pour les cadres 
  • Les cadres et la dépendance          

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