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L’INSEE a étudié les tables de mortalité de ces dernières années en prenant comme critères le niveau de diplôme la catégorie socio-professionnelles. Sans surprise les diplômés de l’enseignement supérieur et les cadres ont une plus longue espérance de vie que les non-diplômés et les ouvriers. La pénibilité du travail le moindre accès aux soins et les habitudes de vie (alcool tabacs) sont des facteurs cumulatifs jouant contre l’espérance de vie. L’impact du diplôme et de la CSP est plus forte chez les hommes que chez les femmes. Ces dernières sont traditionnellement mieux suivies que les hommes en matière de santé. Leur hygiène de vie est également meilleure même si les comportements avec le temps se rapproche. Par ailleurs, biologiquement leur espérance de vie est supérieure à celle des hommes.
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