A la veille d’une possible hausse substantielle du taux du PEL, le Parisien revient sur ce produit destiné aux ménages modestes. Philippe Crevel, cité dans cet article, estime qu’un taux à 4,5 % à partir d’août serait une forte incitation à l’épargne au détriment de la consommation, et dont le poids serait supporté par les banques. Il précise que « dans la hiérarchie des taux, ce serait atypique d’avoir un produit d’épargne de court terme, liquide, rémunéré plus fortement que n’importe quel produit financier à risque à l’heure actuelle ».
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