Dans les colonnes du Figaro, Philippe Crevel calcule qu’« une hausse de 1 % représenterait 4 milliards d’euros de surcoûts pour les établissements financiers, sur la base de l’encours de fin mai (399,9 milliards d’euros) . Du fait, par ailleurs, de l’annonce d’un recul à venir de l’inflation susceptible de contraindre le gouvernement à revoir à la baisse la rémunération des produits d’épargne réglementée, Philippe Crevel estime par conséquent que la formule ne sera pas appliquer pour déterminer le taux pratiqué à compter du 1er août prochain.
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