Cité dans Le Monde, Philippe Crevel estime qu’« il ne faut pas diaboliser la capitalisation en soi, tout dépend par qui elle est gérée, si elle est obligatoire, etc. ». Selon lui : « l’enjeu aujourd’hui est d’éviter un système à deux vitesses, dans lequel la capitalisation serait réservée aux salariés des grandes entreprises et aux ménages très fiscalisés. »
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