France Culture cite Philippe Crevel à propos des coûts et avantages qu’induisent un « euro fort »: « Philippe Crevel tente de tempérer : l’euro ne représente que 22 % des réserves de change mondiales, le dollar encore 62 % et il restera fort, indépendamment des « résultats macro-économiques de l’économie américaine » tout simplement à cause du poids économique et politique des Etats-Unis. Pour lui, on est d’ailleurs loin de la zone de danger autour de $ 1,4 pour 1 euro. »
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