Dans les colonnes du journal Le Parisien, Philippe Crevel rappelle la forte inertie des fonds euros. Il explique ainsi que « si un fonds en euros pèse plusieurs dizaines de milliards d’euros et est gorgé d’obligations à faible taux, il sera long et difficile de faire remonter le taux de rendement ». Aussi, poursuit-il « les compagnies d’assurances qui avaient moins puisé dans leurs réserves les années passées ont eu davantage de possibilités de bonifier leur taux servi en 2023 ».
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