Invité à réagir à la forte volatilité des marchés depuis le début du conflit ukrainien, Philippe Crevel estime qu’ « au-delà de l’effet de surprise, les conséquences de cette crise ne doivent pas être exagérées ». Il précise que « si 35 entreprises françaises du CAC 40 ont des filiales en Russie, ces dernières comptent, en règle générale, pour moins de 5% de leur chiffre d’affaires total. La Russie comme l’Ukraine sont des clients marginaux pour les pays de la zone euro en ce qui concerne les échanges, représentant 1 à 3% des échanges ».
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